fermer les yeux. PV Rilna!!

J'étais encore haletant de la longue marche que j'avais fait pour venir jusqu'ici, alors, je ne puis me priver d'une longue pause. En effet, je venait tout juste d'arrivé et d'ailleurs ce paysage m'était familier, peu être était-je déjà venu lorsque j'étais petit supposais-je. J'étais persuadé que ses histoires de guerres entre clan durait toujours, à vrai dire je n'y attribuais que très peu d'importance pour l'instant, si quelqu'un avait un problème avec le fait que je soit ici, je l'attendait. Je ne voulait faire aucun effort avant une bonne nuit de sommeil, après, surement, j'irais voir le Roi pour lui parler un peu de moi et savoir ou en est cette guerre.

En attendant! Je m'était approché de ce fabuleux ruisseau où je comptait bien faire une sieste. L'herbe y était fraiche, c'était silencieux, on y entendait même le ruissellement de l'eau, ce qui était un son que j'avais oublié. Je pu me couché au bord de l'eau, étiré ses lourdes pattes douloureuses devant moi et déposé ma tête au sol pour fermer les yeux un moment.

Invité

Le lion, coucher a plusieurs pas devant moi, avait tout pour me faire fuir. Il plus massif que tout les lions que j'avais vu jusque là. On ne distinguait pas bien son pelage à cause de l'armure métallique qu'il portait. Ses yeux ... je les voyais à peine. Mais il semblait être puissant, assez puissant pour me tuer en deux coup de pattes. Un frisson de peur secoua tout mes membres. Oui ... Il me faisait peur. C'était le seul lion qui m'inspirait de la crainte ... Et j'étais donc plutôt curieuse. C'est dans ses moments là que l'on reste tétanisé, regardant, les yeux écarquillé, le lion d'en face, en attendant de savoir ce qui allait se passer. Mais, moi, je pouvais bouger, je pouvais penser et, si je le voulais, je pouvais parler. J'avais peur, mais pas assez pour que je ne puisse plus bouger ni dire un mot. Mais, a votre avis, pourquoi me retrouvai-je là, devant ce mystérieux lion ? Aujourd'hui, j'avais décider de patrouiller. On m'avait proposer de m'accompagner mais, idiote comme j'étais, j'avais refusé. A présent, je me maudissais moi-même. C'était en arrivant au ruisseau, un endroit plutôt paisible où je n'aurai pas imaginer rencontre ce type de lion, que je l'avais vu, coucher sur la rive. Je n'étai qu'à quelques pas de lui et, pourtant, il ne semblai pas m'avoir aperçu. A côté de moi, sur ma droite, ce trouvai un petit caillou blanc. Du bout de la patte, je donnai un violent coup dedans, le projetant dans l'eau du ruisseau pour attirer l'intention du mâle. J'étais bien décidé à le faire partir. Mais il vaudrai que j'y aille plus sournoisement pour ne pas provoquer sa colère, ce qui pourrait se révéler fatal.

-Heu ... Bonjours.

Lentement mes yeux ouvrir, j'eus à peine le temps de voir les rides sur l'eau s'estomper doucement, quelqu'un y avait jeté quelque chose? inutile de dire que je ne pouvait pas m'endormir à nouveau tout en sachant que quelqu'un était peu être à coter de moi, je n'eus donc plus qu'une seul chose à faire, tirer mes pattes vers moi et pousser dessus afin de me lever et enfin de me retourner pour apercevoir une lionne s'approcher de moi. La lionne me salua froidement et moi je ne répondit pas, bien trop occuper à observer ce qu'il ce passait tout autours de nous. Elle était tout près, trop près, alors je me tenu droits et rugit dans sa direction pour bien lui faire comprendre que je n'aimait pas sa.
C'était purement instinctif, les lions de clan ne peuvent pas comprendre cela, me disait-je quelques fois, je savais ce qu'était de vivre en groupes, mais lorsque l'ont se retrouve seul, tout se change. Je ne me prenait pas pour un martyrs et je ne pense pas être un meurtrier, j'étais juste trop sauvage pour eux. Mais tout cella était ce qu'on appelle le passé, je devrait bien finir par changer si je souhaite m'intégrer, alors je baissa lentement la tête en gardant les yeux rivés vers la lionne et me calma avant de doucement commencer à faire quelques pas dans sa direction jusqu'à être assez proche pour approcher mon visage du sien, je pensait que m'approcher de la sorte d'elle serait une bonne façon de lui montrer ma passiviter.

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Le lion se releva, alors que j'étais entrai de m'asseoir, puis se retourna. Que le lion ne me réponde pas me vexai légèrement. Enfin, peut-être ne m'avait-il pas entendu ... Je lui avait parler plus froidement que je ne l'aurai voulu. C'était surement à cause de cela qu'il faisait le muet. A moins qu'il ne le soit vraiment. Me le lion se redressa de toute sa hauteur, avant de rugir. Je fermai les yeux et serrais les dents. Non ... Le lion n'était pas aphasique mais, moi, je risquais de devenir sourde. J'aurai bien fait une petite bataille de qui-rugit-le-plus-fort avec l'intrus. Mais ça n'aurai fait qu'attiser la colère de l'inconnu. Je me contenta donc de rester là, droite comme un i, à attendre. Les yeux rivé sur la carapace du grand lion. Mais ce qu'il fit ensuite m'étonnai au plus haut point. Il baissa la tête. Je le regardai, la gueule entre-ouverte, stupéfaite. Puis le lion s'approcha de moi. Je ne fis tout de même pas un pas en arrière. J'étais trop hébété et surtout trop curieuse pour reculer. Il était très spécial ... Plongeant mon regard dans le sien, j'attendis la suite. Mais, peu à peu, je sentis le fou rire monter. La scène devait être hilarante, vu d'un autre angle. Soudain, sans que je le veuille vraiment, un sourire amusé apparu sur mes babines. Mais je n'aimai pas montrer mes sentiments. mais véritables sentiment, bien entendu. Je clignai donc des paupières et secouai légèrement la tête. Enfin, je demandai au lion, d'un voix, cette fois, plus douce que je le souhaitais :

-J'ai une mouche sur le museau ?

Mes sourcils ce froncèrent à la vue de se sourire qui orna le visage de la lionne. Qu'est-ce qui était si amusant? Je m'assis et me redressa pour ainsi me retrouver bien plus haut que la lionne. Une mouche sur le museau? Je leva donc une patte avant et la déposa sur le front de la lionne pour ensuite la faire glisser le long de son visage, jusqu'à son museau. Après cela, je baissa de nouveau la tête pour être bien en face d'elle.

Voila, tu en est débarrasser.

Prononçais-je simplement. Je finit par me relever et faire un tour autours de la lionne, elle avaient d'épaisses pattes, plus musclé que la normal des lionnes. Lorsque j'eus presque finit mon tour je me laissa aller à approcher mon museau de son cou pour humer le parfum délicats qui émanait de la lionne, c'était la première fois que je sentait pareil odeur, elle me fit frémir sous mon armure. Je revint en face d'elle, son visage était fin, ses oreilles bien rondes et touffus, son regard quand à lui d'une profondeur rare.

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Le lion s'écarta, a mon grand soulagement. Si il était resté, ne serais-ce qu'une seconde de plus si proche de moi, j'aurai explosé de rire. Mais lorsqu'il s'assit, je remarqua qu'il était bien plus grand que moi. Je devais presque levé la tête pour regarder son visage. Je me sentais vraiment inférieur. Quoi de plus excitant pour une lionne comme moi ! Au début, je voulais faire partir ce lion. Mais, a présent, sa présence ne me dérangeais plus. Puis le lion posa sa patte sur le haut de ma tête et la fis descendre jusqu'au sur mon museau. Même si j'avais les yeux levé, l'inconnu du quand même baisser la tête. Il m'informa ensuite que, d'un, j'avais bien une mouche sur le museau, et de deux, il l'avait fait partir. J'allais me présenter, pour l'inviter à faire de même, quand il se leva pour faire un petit tours autours de moi. J'avais l'impression d'être une proie. Oui, 'était tout à fait ça. J'étais la gazelle et lui ... le prédateur. Enfin, d'après moi, je serais plutôt un gnou. Les gazelles étaient beaucoup trop belles, de mon point de vue, pour que je puisse m'identifier à elle. Bref, passons. J'eu soudain une envie irrésistible de déchiqueter le museau du lion. Il s'était approcher, cette fois, trop près de moi. De plus, il m'avait prise par surprise. Je sursauta donc et, par instinct, sortis mes griffes, que je planta dans le sol. Si je ne respectait pas ce mystérieux lion, je lui aurai déjà mis ma patte dans la figure. Par contre, j'en profita pour, moi aussi, sentir son odeur. Mais le vent soufflais sur mon visage et je ne perçu que l'odeur des Kawaii. Alors, il connaissait Haado ? Ou peut-être avait-il simplement rencontrer un Kawaii. Le lion revint donc devant moi et sembla me détailler du regard. Je n'aimais pas spécialement qu'on me regarde comme ça, surtout lorsque c'était un lion qui me fixai. Alors, pour me détendre, je fis ce que je voulais faire un peu avant :

-Je suis Rilna, du clan des Bannis.

Moi, je suis juste un lion.

J'observais la lionne encore quelque instant, pourquoi attachaient ils t'en d'importances à leurs appartenances? Je l'ignorait mais je finirais bien par le savoir, en effet, j'étais impatient d'en savoir plus eux. Pas seulement les bannies, tous. Je fit un signe de tête à la lionne pour lui dire de me suivre, si elle le souhaitait bien-sûr puis je me redressa et retourna près de l'eau pour ensuite me coucher au même endroit ou j'étais précédemment. Coucher sur le ventre, je ferma les yeux et écouta, la lionne me suivait-elle? Je l'espérait, sa façon de ce comporter attisait ma curiosité, ce qui était une bonne chose, sa me rendait plus docile et sociable, ce dont j'avais besoin. Trop impatient, j'ouvris les yeux , leva la tête et la retourna pour voir la lionne.

Approche.

Je leva une de mes pattes et la laissa lourdement tomber à coter de moi pour inciter Rilna à venir juste à coter.

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Je pensais que l'inconnu allait me révéler son identité. Mais, au lieu de ça, il me répondit qu'il était ... un lion. En gros, il ne voulait pas me répondre. Libre à lui. Je pensais qu'en lui disant que j'étais une bannies, il s'en irait. Mais non, apparemment, ça ne le dérangeait pas. Puis le lion, d'un signe de tête, me proposa de le suivre. J'attendis qu'il s'éloigne, pour savoir où il voulait aller. Le lion se dirigea vers l'endroit où il était allongé lorsque je l'avais aperçu. Il s'allongea sur le sol et ferma les paupières. Moi, je n'avais pas bouger. Je le regardais, ne sachant pas trop quoi faire. Si un bannis passait par là et qu'il me voyait, j'aurai de gros problèmes. De toute façon, si un lion d'un quelconque clans nous apercevaient, je serais bannis des bannis. Ironique ! L'inconnu releva la tête pour me regarder, avant de me demander de venir près de lui. Après avoir arpenter furtivement les alentours du regard, je me décida d'approcher. Une fois a côté du lion, je me coucha sur le sol. J'étais tout de même mal à l'aise. J'étais allongée près d'un lion qui ne ferait qu'une boucher de moi et, a toute instant, un bannis pouvait arriver. Mais je devais l'avouer, je me sentais bien. Si je n'avais pas été aussi inquiète, j'aurai peut-être même ressentit une vague de plaisir. La tête poser sur une des mes deux pattes avant, je fixai le lion. Cette fois, je pu entrevoir la couleur de ses prunelles. Elles étaient d'une couleur ambre, dorée à certain endroit. J'avais l'impression que tout cela n'était pas réel. Comme si ce lion sortait tout droit de mon imagination. C'était la première fois que je me montrais aussi gentille avec un mâle. Non ... C'était la première fois que je ne faisais pas semblant d'être gentille avec un mâle. Alors, comme pour m'assurer qu'il existait vraiment, je leva la patte et vint toucher son front. Je ne sentis ni la crinière ni même la fourrure du félin. Tout ce qu'il y avait sous ma patte, c'était le métal. Je me demandais pourquoi il portait une armure. Elle devait être lourde et, les jours de fortes chaleurs, inconfortable. Mais j'étais sûre d'une chose : Ce lion avait rencontrer des humains. Seuls eux pouvaient modeler le métal ainsi. On m'avait souvent parler de ces animaux qui ne marchaient que sur deux pattes. D'après ce que j'avais retenue, ils n'étaient pas doux avec les lions ...

Mon visage était couché sur le sol, la joue aplatit sur la terre. Je m'assoupissait paisiblement bien que je pensait que la lionne n'allait pas juste se coucher et faire une sieste à mes coter, non, elle tiendrait certainement à discuter un peu. Je la sentit s'approcher puis se coucher à coter, j'entre-ouvrit les yeux et pu la voir, la tête poser sur une patte, elle me regardait. Je la trouvait belle, et je ne pensait à rien d'autre. Je ne me lassait pas de la regarder mais je finit par cessé cella, au moins par politesse, je ferma les yeux.
Quelque chose d'inattendue ce passa, je ne mit attendait pas du tout, la lionne m'avait déjà beaucoup étonner en acceptant de venir se coucher ici, près de moi, mais je ne fut pas au bout de mes surprises. Quelque chose de doux vint glisser sur mon visage, ou plutôt, je sentit quelque chose glisser sur le métal, alors, bien-sûr, j'ouvris de nouveau yeux pour voir Rilna me toucher comme une bête curieuse. Sur le coter du visage en dessous de mes oreilles, je n'avais pas d'armure, ma crinière y dépassait un peu, alors je leva une patte pour attraper celle de Rilna et la fit lentement glissé à cette endroit pour la sentir me caresser le poil. C'était le premier contacte physique autre que des coups de griffes ou de crocs que je ressentait depuis mon enfance et cella me fit ressentir une sensation de bien-être indescriptible.

Invité

J'allais retiré ma patte du front du lion quand celui-ci l'attrapa et la fis glisser à un endroit de son visage que l'armure ne cachait pas. Je sentis sous mes coussinets la chaleur du lion, ainsi que sa douce fourrure. J'avais pensé qu'elle serait raide, surement à cause de l'allure de l'inconnu. Depuis que je l'avais rencontré, ce lion n'arrêtait pas de me surprendre. Je frémi de la tête jusqu'au bout de la queue. Je n'avais jamais toucher sans sortir les griffes. Enfaite, je n'avais jamais touché un animal sans lui vouloir du mal. Je me détendis totalement. Je ne le connaissais peut-être que depuis quelques temps, mais j'éprouvai déjà ... Comme appelait ça ? De la sympathie ? Surement. A vrai dire, a pars ma mère, je n'avais jamais considérer quelqu'un comme mon "ami". Ce souvenir était donc déjà loin ... Soudain, je revins à la raison. Je ne devais pas laisser quelqu'un entrer dans ma vie, même si ce n'était qu'un simple ami. Ca me perturberais complètement et je n'aurai certainement plus aucune chance d'accomplir ma vengeance. Je retira donc vivement ma patte du visage du lion et me releva dans le même mouvement. Là, je fixa l'inconnu pendant quelques minuscules secondes, qui me parurent durée une éternité. Je devais partir, vite ...

-Je ne ... Heu ... Il faut que j'y aille.

Bafouillais-je. Que m'arrivait-il ? Mon pouls s'accéléra. J'avais l'impression que l'on pouvait enendre les battements de mon cœurs dans toute la savane. Je paniquais ... La première fois pour moi. Aujourd'hui, il mettait arrivé beaucoup de chose : J'avais ressentit la peur, puis ce qui semblait être, d'après moi, de l'amitié et enfin la panique.

Rilna retira rapidement sa patte de mon cou ce qui me fit presque sursauter mais en tout cas j'ouvris tout aussi rapidement les yeux qui devenaient rondes comme des billes alors que la lionne se levais, suivant sont rythme je brassa un peu moi aussi et redressa la tête. Je n'était pas debout. Je restait coucher alors que j'observais Rilna s'activer, elle souhaitait partir mais resta en place, elle semblait réfléchir ou plutôt être perdu sur sont petit nuage, il était temps de redescendre sur terre et je pouvais surement lui donner un petit coup de patte pour l'aider.
Je me releva difficilement puis sans m'arrêter bouscula la lionne pour la faire tomber sur le dos avant de me mettre sur elle et de poser une de mes pattes avant sur sa poitrine pour la tenir en place.

Qui a t-il? J'ai l'impression que tu cache quelque chose, alors tu comprend que je sois bien obliger de savoir maintenant ce qui ce trame dans ta tête.

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Je voulais partir en courant. Malheureusement, mes membres ne répondaient plus. Je continuais donc à regarder le lion, sans savoir quoi faire. Celui-ci se releva et ... me bouscula. Je ne retrouva pas ma mobilité pour autant mais je fus, une fois encore, étonnée. Que cherchait-il a faire ? Je tomba sur le dos. Heureusement la chute fus courte et je ne me fis pas mal. Puis le lion plaça ses pattes avant sur moi, pour m'empêcher de ma relever. Mais ce qui me surpris le plus, cette journée, ce devait être ce moment là. Je ne chercha pas à la repousser. D'habitude, j'aurai au moins grogner. Là, rien. Même pas le plus petit bruit provenant du fond de ma gorge. Enfin, le lion me demanda ce qu'il y avait. Il avait compris ... Je lâcha un soupir. A quoi bon nier ?

-Ben voila, je t'aime bien. Et le problème, c'est que je ne veux pas avoir d'amis.

Aussitôt après, je me maudissais. Que m'avait-il pris ? J'aurai du faire semblant, une fois encore. Ca n'aurai peut-être pas marcher, mais il m'aurai surement lâcher. Qu'elle idiote je faisais ! Je détourna donc le regard, mal à l'aise. Je n'avais jamais dit à quelqu'un que je l'appréciais ... Enfin, il y avait bien un début à tout. Je m'arrêta sur cette dernière pensée. Non, c'était faux. Il y avait beaucoup de chose dont j'étais sûre que je ne ressentirais jamais l'amour. Je ne voulais pas de ça dans ma vie. Idem pour les amis. Si pendant tout ce temps, je n'étais jamais resté avec les bannis, membres de mon clan, c'est qu'il y avait bien une raison. Mais alors, que faire ? Attendre, comme toujours ... C'est souvent la meilleurs chose à faire et la chose que je faisais la plus souvent.

J'arquais les sourcils alors que je réfléchissait à la signification de ce que voulait dire les propos de la lionne. Si je ne l'appréciait pas, je l'aurait très certainement égorgé et laissé ce vidé sur place, elle était si égoïste.... Mais qui était-je pour la jugé? Hm? Moi aussi j'avais bien des défauts. Une chose m'étonna, elle se laissait faire, on aurait dit que j'aurais pu faire ce que je voulais d'elle, mais bon, elle ne veux pas d'amis!

Sa... Je ne peu rien n'y changer, alors je vais retourner me coucher près de l'eau et si tu change d'avis... Tu n'a cas venir.
Sinon, la prochaine fois que je te croiserais, je m'occuperait de toi.

Dit-je avec un large sourire, moi-même j'ignorais si je blaguait ou si j'étais francs. Je relâcha mon emprise sur Rilna et sauta à coter d'elle. A présent, j'allais la laissé cogité un peu sur ce qu'elle ne voulait ou ne voulais pas, alors je fit comme prévu et retourné me couché du bord de l'eau, bien-sûr, j'avais envie qu'elle revienne, je mourrais d'envie de sentir de nouveau sa patte sur moi et de pouvoir la regarder encore et encore.

Invité

J'étais terriblement égotiste. Je ne pensais qu'a moi-même. Mais je n'aimai pas cette idée, alors je me trouva une excuse. Mon amitié n'apporterait que des malheurs au lion. Je passais ma vie à comploter, à essayer de tuer. Si un jours, je me faisais prendre, je mourrais. Et si je crois ce qu'on m'a dit à propos de l'amitié, si nous continuons sur cette voix là, le lion allait être triste. Je ne voulais pas qu'on sois malheureux, surtout pour moi. Le lion fini par me lâcher, après m'avoir dit qu'il fallait que je fasse un choix : Entre son amie ou son ennemie. La chose positive dans tout ça, c'est qu'il n'avait pas demander d'explications. Malgré son sourire, je pris ses paroles très au sérieux. Soudain, l'inquiétude s'en alla. D'un coup, elle disparu. Le lion partis se coucher, un nouvelle fois, sur la rive. Il voulait que je réfléchisse. Pourtant, mon choix était déjà fait. Il était fait depuis trop longtemps pour que je puisse le changer. Je devais accomplir ma vengeance ...
Ma queue se baissa, ainsi que mes oreilles. Même si je ne voulais pas entretenir de relation amicale, je sentis, tout au fond de moi, la tristesse. M'apercevant de ma position, je me redressa de toute ma hauteur et, en essayant de prendre le plus d'assurance possible, fis :

-Alors, la prochaine fois où nous nous verrons, sois prêt à te battre.

Sur ce, je pivota sur mes pattes et m'éloigna de quelques pas. Ce fus a cette instant précis que l'envie de me retourner et d'aller me recoucher près du lion se fit la plus forte. Mon coeur n'était pas en accord avec mon cerveau, voila tout. D'un côté, je souhaitais resté au côté du lion. De l'autre, il fallait que je tue Anadrus et tout ces misérables Hockings qui ont tué ma mère. Pensant qu'il ne me regardais pas, je jeta un petit coup d'œil au lion. C'étais la dernière fois que je pourrais le voir dans une position de faiblesse ...

J'avais envie de l'écrasé comme un pucerons à ses mots, j'hésitais même à la rejoindre dès à présent pour en finir maintenant. J'étais déçu, terriblement déçu. C'est une sensation dont j'ai horreur, peu être celle que je déteste le plus, la déception. Mais je restait là, quelque chose me disait de patienté, pu être finirait elle par comprendre et faire demi-tour, en attendant, je restait couché au sol, étendait mes pattes sur le sol et grattait la terre de mes griffes.
Je leva les yeux pour apercevoir Rilna qui s'était éloigné, retourné, elle me regardais, à quoi pensais elle?
Je ne pouvait pas la rejoindre et je ne pouvais pas lui parler, j'étais complètement impuissant face à cette situation et c'était terriblement troublant.

Invité

Que faire ? Partir loin, très loin, et essayer de ne plus penser au lion. Ou revenir sur mes pas. Un dilemme atroce. Mais je devais bien faire un choix. Je ferma les paupières, pour me concentrer. J'aurai tant aimé ne pas avoir à choisir. Si je revenais vers lui, je renonçais à moitié à ma vengeance. Si je partais, c'était à ... A quoi ? Je ne savais même pas ce qu'il était pour moi. Je rouvris lentement les yeux, espérant me réveiller dans une grotte sombre. Non, je ne rêvais pas. Dommage ... Tiraillé entre l'amitié et la vengeance, je ne pouvais plus bouger. Enfin, pourquoi appelais-je ça de l'amitié ? Non, c'était juste ... N'importe quoi. Je ne pouvais et ne voulais pas apprécier quelqu'un, c'était dans ma nature. Après avoir fais la mou, je me résigna. Tout en pivotant un fois de plus sur mes coussinets, je regarda de nouveau le lion étendu par terre. Une boule vint se former dans ma gorge, m'empêchant de déglutir correctement. Me retourner m'avait demander un effort extraordinaire. Moi qui était censé ne jamais faire marche arrière ... Je n'étais plus moi. Heureusement le lion n'y était pour rien, enfin presque. Je me rendis compte à ce moment là que je ne connaissais toujours pas son nom. Ni même a quel clan il appartenais. J'aurai opter pour les Kawaii, vu son odeur, me je ne pouvais pas en être certaine. J'examina de plus belle le lion. Je n'allais pas le rejoindre, non. Il ne fallait pas m'en demander trop. Me retourner avait déjà été difficile. Si, en plus, je devais m'approcher ... Soudain, je repensa à ce que j'étais venue faire ici. Une patrouille ... Les bannis n'allaient pas tarder à se mettre à ma recherche, pensant qu'il mettait arrivé malheurs. Stupide lionne que j'étais ! J'aurai du partir en courant, ne pas me retourner. Ca m'aurai évité de me poser trop de questions à propos de ce que je ressentait.

Après un long moment, toujours rien, elle était partie... Je poussa un long et triste soupir puis j'ouvris les yeux, je n'allait pas rester plus longtemps ici. Mais a ma grande surprise, la lionne était toujours la, elle s'était retourné et me fixait, elle était amoureuse ou quoi me dit-je ironiquement. Dans tout les cas, elle était vraiment très étrange, même plus que moi.
Je me releva et parti, dans sa direction. Je m'approchait, encore et encore, jusqu'à être en face d'elle, il y avait quelque chose d'étrange dans son regard, je m'arrêta et resta moi aussi là, à la fixer. On aurait dit que le sort de l'univers reposait sur ses épaules de la façon dont elle me regardait, je lui offrit un sourire puis lui fit une tape l'épaule, on aurait dit qu'elle aimait bien joué au dur alors elle comprendrait certainement ce que cela voulait dire. Je l'appréciait toujours.

Tu peu me dire ce qui ne va pas? Pourquoi restait tu là à me regarder?

Invité

Le lion se releva, pour se s'approcher de moi. Ma queue se mit à fouetter l'air de plus en plus vite. Le regardant droit dans les yeux, j'attendis. J'aurai vraiment beaucoup patienter aujourd'hui ! Il s'arrêta devant moi et me fixa lui aussi du regard. Puis le lion me sourit. Pourquoi faisait-il ça ? Je ne voyais pas vraiment ce qui pouvait l'amusé. Après un coup d'œil furtif autours de moi pour m'assurer qu'il n'y avait rien de comique, je haussa un sourcil. De la patte avant, le lion me tapota l'épaule. D'un petit mouvement de buste, j'esquiva. Je sentais que si il me touchait, j'allais lui sauter dessus. L'instinct ... J'étais une lionne très farouche. Une de ses lionnes qui voulait vivre seule, sans amis. Depuis toute petite, j'avais toujours était sauvage. Enfin, plus que les autres. Alors, pour mon bien et celui de Shujha, je menti :

-Ce n'est pas à moi de partir, mais à toi. Je suis une bannis et je doit garder mes frontières. Même si tu ne représente pas une menace pour moi, tu en représente une pour les autres ...

Je laissa ma phrase en suspend. Comment pouvais-je être sûre qu'il ne m'attaquerait pas. Il m'avait bien dit tout à l'heure qu'il me tuerait si je ne changeait pas d'avis.

-Et si tu ne veux pas partir, je te chasserais.

[Nul :S]

Je haussa simplement les épaules, la lionne faisait tout sa seulement pour sa, ce n'était plus décevant, c'était pitoyable. Mais sa m'attristait, on aurait dit qu'elle se forçait à faire comme si elle était sans cervelle, ce qui ne faisait que renforcer l'idée qu'elle cachait quelque chose, mais sa ne m'intéressait plus vraiment, ce n'était que ma première rencontre, les autres seront peu être plus fructueuse, je me lassait de tourner en rond.
Je détacha donc mon regard de celui de la lionne pour observer les alentours et voir ou allais-je me diriger à présent, je fit mon choix, puis sans dire un mot, je me mis en route. Je me consolait en me disant que dans l'histoire, ce n'était pas moi le perdant.

( Quitte le sujet. )

Invité

Le lion haussa les épaules, avant de partir. Moi, je le regardais partir, sans un mot. La tête haute, je m'assurais qu'il ne revienne pas sur mes terres. Enfin, c'est ce que l'on aurai pu penser en me voyant. Enfaite, je réfléchissais. J'étais nulle. Nulle et bête. Les yeux toujours fixé sur le lion, je semblai le regarder. Mais mon regard était vague, lointain. Mon esprit était ailleurs. J'avais l'impression, pour la première fois, d'être seule. Ce n'était pas qu'un impression ... Le rattraper et lui proposer de rejoindre les bannis, voila ce que j'aurai du faire. Et, si il n'avait pas voulu, lui proposer de nous revoir, en amis. La prochaine fois, il y aura surement un combat. Pourtant, dans mon fort intérieur, niché entre la raison et l'envie, brillait un petit espoir. Je monta sur un rocher pour pouvoir voir le lion passer la frontière. Des qu'il fut passer de l'autre côté, je lâcha un soupir. Enfin, je descendis de la pierre et pris le chemin du Roc d'or.

[Clos]

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