Sauras-tu me répondre ? [Priv Opale]

J'ouvrit un oeil. Le soleil n'était pas encore levé. Je me leva, et sortit de la grotte où je dormais. Levant les yeux au ciel, je m'assi et me mit à observer le ciel étoilé. Une brume épaisse planait, m'empêchant de voir bien loin devant moi. Mon ventre gronda. C'était la faim qui m'avait réveiller. Ne voulant pas attendre le jour pour aller chasser avec les autres lionnes, je décida d'aller débusquer une proie toute seule. J'avais plutôt penser à un lapin, ou même une antilope. Soudain, je tomba sur un troupeau de gazelle. Déçu, je continua mon chemin. Ces bête là étaient bien trop rapide pour qu'une lionne, même très agile, n'arrive à en rattraper un seule. J'aperçut bientôt un groupe de kobus. Je me mit alors à ramper vers ma proie : un kobus laisser à l'écart des autres. Grace à l'obscurité, je pu me rapprocher bien plus près de ma victime qu'à l'ordinaire. Je m'élança alors, et sauta sur la bête. Celle-ci, alerter, avais essayer de partir. Trop tard. Je n'eu plus qu'a l'atteindre à la carotide. Je traina alors le kobus jusqu'au campement, pour le manger tranquillement.

Le soleil fini par se lever, alors que je venais de finir mon repas. Soudain, un lion vint me voir, suivis par .... Rafiki ? Je soupira. Je n'avais aucune envie de voir ce vieux singe. Depuis qu'il m'avait prédis que je changerais si je trouvais l'amour, je n'avais plus aucune sympathie pour lui. Mais, d' un autre côté, j'était plutôt inquiète. Que me voulait-il ? D'un signe, Rafiki fit disposé le lion. Le singe me demanda de le suivre. Méfiante, je laissa la carcasse du kopas, avant de le suivre jusqu'à la forêt brulée.

Visiblement, Rafiki ne voulais pas qu'on nous entendent. Toujours prudente, je le suivais à pas lent. Je voulais retardé, le plus possible, le moment où nous entamerions une discutions. Lorsque je fût sur que nous étions seuls, je demanda :

-Qui a-t-il ?

De plus en plu impatiente, en légèrement énervé, je continua à suivre Rafiki. Celui-ci n'avais toujours pas répondu à ma question. Il se dirigea vers un gros rocher grisâtre, virant un blanc sale à certain endroit. Il y monta dessus, avant de s'asseoir et de fermer les yeux. J'était assez surprise, mais mon étonnement ne couvrait pas mon agacement. J'avais d'autre chats à fouetter, et n'avais aucune envie de rester avec ce vieux fou une seconde de plus. Mais, en même temps, j'était légèrement intrigué par l'annonce qu'il allait me faire. Aussi, je m'assis, et le regarda avec insistance. Le singe posa enfin son bâton sur le rocher, avant de faire un signe avec ses mains. J'avais laisser quatre bons mètres entre Rafiki et moi. Aussi, je ne pu distinguer ce qu'il faisait. Enfin, il me regarda et annonça :

Je ne croyais plus au prédictions de Rafiki, mais la curiosité me poussa à répondre :

A tout les coups, l'énigme ne serait pas simple et, si je voulais y répondre, il faudrait que je me torture les méninges.

Les yeux comme des soucoupes, je cligna des paupières. Avais-je bien entendue ? Je regarda Rafiki attrapé un fruit, pour le couper en deux et en manger l'intérieur, pensant qu'il allait se corriger. Mais il ne le fit pas, et je sus qu'il était sérieux. Sa question me paraissais tout de même stupide. Tant que je serais là, il n'arrivera rien de fâcheux à mon fils. Je ne le montrais peut-être pas beaucoup mais, au fond, je l'aimais bien, ce lionceau. Pour Hamaku, il était impensable qu'il perde un combat. Enfin, il l'était pour moi. Et, qui dit mort, dit affrontement.

Et voila, j'étais rentrée dans le petit jeu du singe et, maintenant, tout étaient embrouiller dans ma tête. Un grognement m'échappa, alors que je secouais la tête. De toute façon, je ne croyais pas vraiment au pouvoirs du vieux Rafiki, et je lançais, au pif :